St-Louis a parfaitement raison. Les athlètes professionnels, comme tous les citoyens en général, devraient faire l’exercice quotidien de se regarder dans le miroir et de se parler dans la face.
«Des équipes achètent des contrats morts pour se rendre au plancher, expose-t-il au bout du fil. Ça va prendre des règlements plus détaillés dans la prochaine convention. Il faut des solutions, parce ...